THIS IS NOT THE END ; Ainsworth.

Citation :

HAZELLE AINSWORTH
CREDIT ~ tumblr.

SOMEBODY I USED TO KNOW.
NOM ~ ainsworth. PRÉNOM ~ hazelle. AGE ET DATE DE NAISSANCE ~ âgée de vingt-six ans, née le premier mai. LIEU DE NAISSANCE ~ née à eagle mountain. OCCUPATION ~ journaliste pour le journal local. STATUT ~ en couple. GROUPE~ girls.

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YOUR HAND IN MINE.
~ Hazelle adore écrire, c'est sa passion de toujours, son petit truc. Si sa profession demeure journaliste, elle n'en rêve pas moins de publier son propre roman. ~ Elle est allergique aux fraises, n'aime pas la pizza mais se damnerait pour un carré de chocolat. ~ Elle a prit l'habitude de courir tous les matins depuis qu'Alban ne vit plus avec elle. ~ Elle laisse constamment la radio ou la télé allumé pour remplir les murs de son petit appartement. ~ Elle n'a jamais trop aimé l'Orphelinat. ~ Depuis aussi loin qu'elle s'en souvienne, Hazelle aurait adoré savoir jouer du piano. ~ Elle déteste les films d'horreur. ~ Elle n'a que très peu de souvenirs de ses parents. De longs cheveux blonds pour sa mère, un parfum fort pour son père. ~ Elle n'a jamais prit l'avion, mais l'idée la terrifie. ~ Plus que tout, elle veut fonder un foyer. ~ Elle n'a jamais connu qu'un seul homme, le sien. ~ Hazelle est de nature calme et patiente, bien que fermement assise sur ses convictions. ~ Elle ne se sépare jamais d'un bracelet en argent qui lui sert de grigri porte-bonheur. ~ (...)

~ Comment avez-vous vécu l'abandon de vos parents ? Était-ce une bonne chose ou bien en avez-vous souffert ? Aujourd'hui, avec du recul, comment envisagez-vous l'avenir ? Hazelle ne se souvient pas très bien de cette période. Son subconscient essayant certainement de la préserver de l'amertume et la tourmente qui étouffent chaque enfant abandonné. Elle n'aime pas en parler, ni chercher à faire remonter les souvenirs. Elle voudrait juste oublier pour de bon, tout. Et, si les premières années furent horribles, chaque espoir déçu la forgea. Elle voit aujourd'hui une chance d'offrir à ses futurs enfants tout ce qui lui a fait défaut. Comme une revanche à prendre, tout ce qu'elle n'a pas eut, elle souhaite le donner à son tour. Alors oui, quelque part, elle est brisée, mais avant tout, elle avance, elle combat ses démons.
~ Comment a été la "colocation" avec les autres abandonnés ? Vous est-il arrivé d'avoir envie de fuir de la ville ? Pourquoi n'avez-vous rien fais ? Hazelle n'a jamais eu trop de souci avec les autres habitants de l’Orphelinat. Elle n'était pas la meilleure amie de tous, mais elle avait ses proches, les quelques uns qui lui suffisaient. Malgré tout, chaque soir pendant tout son séjour, elle a rêvé de mettre les voiles. De devenir quelqu'un d'autre qu'une de ces gosses anonymes et abandonnés. Aujourd'hui encore elle voudrait quitter la ville, mais c'est toujours pour la même raison qu'elle est restée : Alban. Elle ne le blâme pas, elle s'efforce de comprendre. De toute façon, elle préfère une vie ici avec lui qu'ailleurs et sans lui. Alors elle ne dit rien, elle se construit ici et se doute qu'au fond, elle y passera sa vie comme tous les autres.
~ Cette expérience vous a-t-elle changé ? Hazelle dirait que cette expérience l'a construite plus qu'elle ne l'a changée. Elle a grandit avec, s'est forgée en fonction des coups durs. Elle n'était qu'une enfant encore malléable quand tout a commencé, pas vraiment une personne affirmée. Alors elle n'a pas changé, elle a simplement du grandir plus vite, compter moins sur les autres. Son gout ardent pour l'indépendance, c'est à tout ça qu'elle le doit, sa capacité à se débrouiller malgré tout aussi. Être entourée mais terriblement seule, c'est ici, les premiers jours, qu'elle l'a apprit. Ce qui véritablement à fait changer Hazelle à l’Orphelinat, c'est sa relation avec Alban. S'appuyer sur quelqu'un, ne plus avoir peur de le voir partir lui aussi, ne pas se braquer. En somme, Liberty Cross a fait d'elle une fillette trop vite mature et désillusionnée, indépendance et effrayée. Alban, lui, s'est chargé de la garder humaine et sensible.

COME BACK WHEN YOU CAN.

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YOU'RE IN MY VEINS AND I CAN NOT GET YOU OUT

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Hazelle sortait tout juste de son cour de sciences, euphorique par cette libération, elle s'élança à pleine vitesse dans les couloirs exigus pour rejoindre la cour arrière. Le soleil rendait l'espace reposant, baigné de couleurs printanières et d'un parfum léger. C'était son moment préféré de la journée, celui où elle retrouvait Alban, petit quart d'heure fougueux entre deux cours. Il était d'ailleurs déjà là, posé nonchalamment sur l'herbe et elle le rejoignit rapidement. A son bonjour, elle répondit d'abord un d'un sourire éclatant, les yeux malicieux puis d'un baiser piqué sur ses lèvres à la volée. Bonjour, vous. s'amusa-t-elle. Naturellement, ils prirent quelques minutes à échanger leurs impressions sur ce début de journée, puis Hazelle s'approcha un peu plus de lui, joignant ses deux mains pour jouer nerveusement avec ses doigts fins. J'ai réfléchis et hum, à propos du bal de demain (...) Je sais que j'ai insisté pour qu'on y aille mais, je me suis dis que peut-être (...) On pourrait s'en passer et rester tous les deux. Timidement, elle releva les yeux pour accrocher son regard au sien, un demi sourire dessiné au coin des lèvres. Enfin, pas juste le temps du bal ... toute la nuit. Son regard insistant et fuyant à la fois, ses mots hésitants, son cœur qui se soulevait : il n'y avait aucun doute, Alban comprenait ce qu'elle lui demandait. Une nuit d'amour. Celui qu'on se montre que dans l'intimité de deux corps nus, l'ultime déclaration. Jusqu'à présent, elle avait voulu attendre. Mais maintenant, et sans savoir réellement pourquoi, elle avait décidé qu'il était temps. D'un geste rassurant, l'adolescent attrapa les mains de la blondinette, étouffant ses mouvements anxieux. Tu es sûre? demanda-t-il. Elle hocha le visage sans rien ajouter. Elle était certaine, elle y avait beaucoup pensé ses derniers jours. Quand ils s'embrassaient, quand elle était tout contre lui, quand elle lui disait qu'elle l'aimait. Alors elle avança son visage et appuya son front contre le sien, les yeux clos. Son cœur se serrait, loupait quelques battements. Enfin, elle l'embrassa. Un de ces vrais baisers fais d'amour et de soulagement, ceux qui parlent d'eux mêmes, ceux dont on se souvient.
Finalement, c'est le soir même qu'ils passèrent le cap, loin de ce qu'avait planifié Hazelle. Néanmoins, ce fut mieux encore que ce qu'elle avait imaginé. Cette nuit là, elle comprit deux choses : qu'il n'y avait rien de mieux que l'imprévu, et surtout qu'il était celui avec qui elle voulait passer le reste de sa vie.

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THE PIECES DON'T FIT ANYMORE

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Hazelle venait de boucler l'article sur lequel elle avait planché toute la semaine. Le sujet n'avait rien de bien passionnant, une broutille sur l'ouverture d'un nouveau restaurant, pourtant elle s'y était abandonné. Chaque instant qu'elle passait à y réfléchir empêchait son esprit torturé de ressasser la situation actuelle avec Alban. Comme une bouée de sauvetage temporaire, un quelque chose qui évite de sombrer trop vite, une maigre illusion. Sans conviction, elle rabaissa l'écran de son ordinateur portable, à court de rectification, résignée à l'idée d'avoir terminé et se faufila dans la salle de bain pour prendre une douche. Elle écourta son passage sous l'eau quand elle entendit son téléphone sonner. Hâtée par l'idée de recevoir un appel d'Alban elle se précipita pour décrocher mais déchanta rapidement en voyant le prénom qui clignotait. "Oui?" Répondit-t-elle malgré tout. "Hazie, c'est Léa, je suis avec Tyler, Jess et Nora, on va boire un verre. Tu viens?" La jeune femme resta silencieuse quelques secondes. "Je sais pas trop. J'ai pas envie ..." Son amie soupira. "Allé, arrête un peu de rester cloitrée. Tu finiras de bosser demain." Léa savait déjà que c'était peine perdue, mais en bonne amie elle insistait. "Non, vraiment il faut que je finisse. Menti Hazelle. La prochaine fois, d'accord?" Léa grogna quelques chose au bout du fil, tenta de convaincre la tête de mule qu'était la blondinette puis finit par lâcher le morceau. "Bon, très bien. Mais un jour il faudra bien que tu sortes de ta grotte." Elle accepta vaguement puis mit fin à la discussion. En réalité, la jeune femme n'avait pas été tout à fait honnête avec ses amis. Elle n'avait pas expliqué qu'elle habitait maintenant seule, n'avait pas avoué qu'elle se sentait vidée, que les nuits lui paraissaient interminables. Elle se justifiait en prétextant un trop plein de travail. Et même si ça titillait sa conscience, tant que ça marchait, elle préférait ça aux aveux.
Lentement, la journaliste se laissa tomber sur le lit, les cheveux encore mouillés, enroulée dans une serviette de bain. Machinalement, ses doigts allèrent chercher la fiche d'Alban dans son répertoire et les tonalités se mirent à retentir avant même qu'elle ne comprenne ce qu'elle venait de faire. Évidement, il ne décrocha pas. "Vous êtes bien sur la messagerie d'Alban Odair, je ne peux pas vous répondre pour l'instant. Laissez un message." Son cœur se serra. "C'est moi. T'es sans doute déjà couché ou plongé sur des copies ... J'aurais voulu te parler, de n'importe quoi, de ce que tu veux. Que tu me parles aussi. Ta journée s'est bien passée? Hazelle soupira doucement. Enfin, voila. Tu me manques. C'est vide sans toi. Rappelle moi, ou passe à la maison bientôt. J'tembrasse." A contre cœur, elle raccrocha, ferma les yeux un instant et inspira profondément pour ravaler les larmes qui tentaient de venir perler sur ses joues rosées. Ils se perdaient et elle détestait ça. L'idée de devoir tomber sur un répondeur pour entendre sa voix avant de se coucher était déchirante. Et, au moins aussi fort qu'elle sentait sa raison se lasser, son cœur continuait d'espérer. Alors ce soir là, elle s’endormit son portable à la main, attendant un appel d'Alban. Comme les autres fois.

informations:

Bienvenue et bon choix ! Je te le réserve.

Ryan , bienvenue et bonne chance pour ta fiche

Merci à vous. Après réflexion, je préfère tenter le scénario d'Alban. Possible de changer la réservation ? Désolée

Tu avais qui avant ? Pour la réservation, j'attends de voir si Alban réserve ou non son scénario.

Bienvenue et très bon choix, Jennifer est sublime

Bienvenue.

Je suis sûre que Romane va être contente, elle qui pensait que son scénario ne serait jamais pris.
Bienvenue parmi nous.

MON SCENARIO, MA JENNIFER, MA HAZELLE.
Bienvenue parmi nous, merci encore de tenter le scénario. Par contre, je préfère ne pas réserver mes scénarios, mais je suis sûre que tu n'auras pas de concurrence.

J'étais partie sur un perso avec Ryan Gosling.
Pas de souci pour la réservation, en revanche je ne suis pas là ce soir ni demain dans la journée donc je m'attaquerais a la fiche demain soir. & de rien, je trouve le scénario juste génial !

Désolée du double post, mais je pense avoir terminé